Calculs et opérations : un enjeu au centre des préoccupations actuelles
Un élève sur deux ne maitrise pas les bases du calcul en arrivant à la fin du CM2 (5e et 6e année en équivalence québécoise). Un quart des élèves français de quinze ans et 40% des élèves de primaire sont en difficulté avec les mathématiques.
Cette situation s’explique par notre façon de désigner les nombres. En Français, comprendre par exemple que “onze” signifie “dix-un” complique considérablement la compréhension des élèves. Le fait de ne plus pouvoir associer un grand nombre entier à des objets du quotidien rend également l’apprentissage des enfants plus difficile : si on peut facilement compter sur ses doigts pour effectuer des opérations avec des petits chiffres, cela devient rapidement impossible d’aller au-delà d’un certain nombre.
Depuis 20 ans, le niveau des élèves a considérablement chuté, en particulier en ce qui concerne la multiplication, la division et la résolution de problèmes. Pour lutter contre ce phénomène, la pratique du calcul mental est de nouveau mise en valeur dans les programmes scolaires, en tant que compétence, mais aussi en tant que moyen pour accéder à une meilleure compréhension mathématique.
Outils d’apprentissage numérique : des avantages certains
Pour favoriser l’implication des élèves, les outils numériques offrent des possibilités particulièrement vastes. Il est prouvé que les enfants sont plus motivés lorsqu’il est question d’apprendre par le biais d’un outil informatique.
Le logiciel Calcularis intègre les connaissances les plus poussées de la psychologie cognitive et des neurosciences, le tout en lien avec les possibilités informatiques actuelles. Les enfants travaillent en autonomie sur ordinateur et les exercices sont pensés de manière à stimuler les différentes parties du cerveau traitant les données mathématiques.